Chef de file pour mon groupe et la Commission Aménagement du territoire et Développement durable, j’ai porté une quinzaine d’amendements visant à améliorer la couverture médicale sur notre territoire. Le volet territorial du projet du Gouvernement ne répond pas aux besoins des populations des zones plus rurales. Il était donc essentiel d’aller plus loin pour faire entendre la voix des territoires. On le voit bien aujourd’hui, même si notre département présente de bonnes statistiques comparées à des départements comme la Sarthe ou la Mayenne, je suis chaque jour sollicité sur la problématique du manque de médecins et la désertification médicale.
Vous pouvez consulter l’article que j’ai rédigé sur l’examen de ce texte au Sénat.
Vous pouvez également visionner les vidéos de trois de mes interventions :
- Sur la prise en compte, dès le stade de la formation et de l’organisation des études, d’une répartition équilibrée des futurs professionnels afin d’anticiper les besoins des territoires et de lutter contre la désertification médicale le plus en amont possible.
- Sur la consolidation du contrat d’engagement de service public, qui offre une allocation de 1 200 euros par mois aux étudiants et internes en médecine en échange d’un engagement à exercer dans des zones sous-dotées.
- Sur l’adoption d’un principe de conventionnement territorial des médecins libéraux, qui permettrait de compléter utilement des dispositifs d’incitation à l’installation dans les zones sous-dotées, mis en place dans le cadre du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2018 et du plan Ma santé 2022.